Par émilie B
PROLOGUE
Je n’avais qu’une hâte partir pour rejoindre Volterra . Les rugissements du moteur hurlèrent quand j’enfonçai la pédale de l’accélérateur et je partis sur le champs . L’embouteillage de l’aéroport ne posèrent aucun problème, je slalomai entre les voitures . Au bout de quelques kilomètres, la circulation se fluidifia et je pus enfin exploiter les capacités de celle-ci . Je quittai rapidement l’autoroute pour gouter l’ivresse de la vitesse sur les petites routes de Toscane . A une cinquantaine de kilomètres de ma destination, j’accélérai à fond, j’attendis que le compte tour du moteur soit dans le rouge . Et là sur le bord de la route une rangé d’arbre plus que centenaire . Je voulais me faire plaisir une dernière, ou avais-je le secret espoir d’y rester . Je donnai un coup de volant, sans même donner un coup de frein, la voiture m’obéis, elle fonçât directement dans l’un des arbres . L’impact fut si violent que l’arbre traversa le capot sur toute sa longueur et s’arrêta au niveau du siège passager . Le pare-brise était en miettes, le moteur fumait à quelque dizaines de mètres de la carcasse . Le choc de ma tête sur le volant l’a non seulement détruit celui-ci mais aussi le tableau de bord . Je sorti de la voiture ou ce qui l’en rester, je me mis à courir .
Introduction
Je pris la décision de quitter Bella, le lendemain de son anniversaire . Toute ma famille et moi quitterons Forks dès que possible, Carlisle devait démissionner de son poste à la clinique du comté . Mais comment quitter la personne qui est votre raison de vivre.
Je savais être convaincant, je m’éloignai de plus en plus, j’étais froid et distant, je fis celas pendant quelques semaines . Le jour de notre départ, j’était obligeait de donner le coup de grâce à notre relation . La journée se terminait, Bella et moi étions dans la forêt quand je lui annonçais notre rupture….
Chapitre 1 : L’abandon
Au moment, où je déposai mon dernier baiser sur son front, j’étais sur que je pouvais partir, j’avais l’énergie du désespoir, une telle force que seul les immortels pouvais avoir pour tuer m’importe quel être vivant .
Je l’abandonna dans les bois, pour oublier ce moment, je me mis à courir jusqu’à chez elle pour indiquer à Charli où Bella se trouvait . Après ça, je suis rentré pour la dernière fois à la demeure de Forks, là où mon bonheur est né et mort . C’est le crépuscule, tous étaient prêt pour le départ . Au moment de mon départ, je savais que je laissai une grande part de moi-même, je sacrifiait mon bonheur au profit de la seule personne qui était la plus importante de mon univers - Bella.
Esmée ferma la porte une dernière fois, c’était la fin d’une époque .
Chapitre 2 : L’agonie
Même si je vivais loin de Forks, les premiers jour furent les moins difficiles . Au fils des jours, un vide s’installa en moi, quelque chose ou plutôt quelqu’un était la source de celui-ci . Durant une semaine, je restai seul, terrais dans ma chambre . Allonger en boulle sur le sofa, le regard vide fixant l’horizon . Mes rares visites furent celles d’Alice, qui voulait me trainer dehors pour aller chasser .
- Aller vient avec moi, dit Alice sur un ton enjoué en me secouant pour me faire réagir
- Non, lui grognais-je dessus, je n’ai pas le courage de partir chassé pour l’instant.
- Mais il faut arrêtes de te morfondre, dit-elle tout doucement, il faut te nourrir et il faut te changeais les idées .
Alice avait raison, il fallait que je me nourrisse, elle avait la phrase qui faisait qu’elle réussissait à nous convaincre .
- D’accord, je vais chasser avec toi, dis-je en sautant sur mes jambes, par contre je veux chasser dans le coin
- Bien, bien j’ai trouvé une piste q=de quelques cerfs et herbivores .
Nous partîmes les deux, une fois dans la forêt, je libérai mes instincts de prédateur . Ce qui pour le temps de la chasse, me faisait oublier mes idées noires . Je trouva dans la forêt, de quoi étancher ma soif, mon choix se porta sur un cerf male, le tuait me pris quelque secondes.
- Alice, je rentre maintenant, j’ai fini dis je avec une voix cassée
- Moi aussi, répondit Alice en arrivant derrière moi
Nous courûmes jusqu’à la nouvelle demeure, je me rendis directement dans ma chambre . Les semaines passèrent et je ne jouais plus du piano, je n’écoutais plus de musique, rien qui pouvais me la rappelais ….
Je souhaitai quand même la protéger de Victoria … . Ma décision était prise, je devais la tuer .
Chapitre 3 : Nouveau départ
Cela faisait plus de trois mois, que j’évitais toujours les miens, seul Alice essayait tant bien que mal à me remontai le moral . A chaque de ces visites, je la sollicitai pour qu’elle essayait de voir Victoria . Jusqu’au jour pendant l’une de ces visites, elle m’encouragea a reprendre la musique .
- Aller joue moi un ……, me dit-elle quand soudain elle se figea . Ses yeux étaient fixes, elle était encore plus pale que d’habitude . Je sais où est victoria, murmura Alice
- Où est-elle ?
- Je voie une ville au Texas .
- Laquelle ?
- Je ne sais pas, je suis désolée, sur un ton triste
- Tant pis, je part . je parcourrais tout l’état si il le faut .
- Quand comptes-tu partir? Attend au moins que Carlisle et Esmée rentrent de leur chasse avant de partir .
- Non, je part sur le champ, lui réponds-je sur un ton agacé . Tu leur expliqueras tout .
- D’accord, tu vas me manquer, je te téléphone dès que j’en sais plus, bouda t - elle .
Chapitre 4 : Ma première traque
Je préparai quelques affaire et je pris ma voiture, fonça droit au Texas . Il me fallu trois jour et deux nuit pour m’y rendre, m’arrêtant juste pour faire le plein de ma voiture . J’allai de ville en ville dans le nord de l’état, mais aucunes traces de Victoria . Cette première traque dura une semaine . Grace a une nouvelle vision d’Alice que j’avais eu au téléphone, je savais que Victoria était à Dallas .
Mais pour un vampire à Dallas, à midi, c’est compliqué car le Texas s’est le désert, pas de pluie ou de grisaille pour cacher la particularité de ma peau au soleil . Je traquai Victoria la nuit . Je pris une chambre pour la journée et loua un box pour ma voiture, le temps du séjour car je préférai la traquer a pied, je gagnerai du temps car la ville n’était pas trop vaste . Je choisi un motel sans prétention dans la périphérie de la ville .
- Je voudrai une chambre ?
- Pas de problème, pour combien de temps ?
- Je ne sais pas, répond-je
- Ok, sa fera $ 25 la nuit, dit le réceptionniste
- Pas de problème, je vous paye une semaine d’avance, en jetant une poignet de billets sur le comptoir .
Le réceptionniste me donna la clé N° 1309
- Au premier étage, dit-il d’une voix joyeuse
- Par contre, je souhaite que l’on ne me dérange pas durant la journée, dis-je d’un ton dur
Le jour commençait à se lever.
- Pas de problème, murmura-t-il
Je montai les escaliers lentement pour être le plus humain possible . La chambre était de taille modeste . Il y avait un lit double avec un dessus de couleur bleu ciel, un écran plat au mur et une petite salle de bain, pour passer le temps de la journée, je mis la télé au minimum .
J’attendais patiemment que la nuit tombe . Je commença ma traque par la ville même, je retrouvai facilement sa trace, un peu trop vite à mon gout . Son odeur était dans toute la ville, donc toute la nuit, j’ai parcouru celle-ci sur une trace fiable . Au bout de quelques heures de recherche, j’étais sur une piste, mais trop tard pour la suivre car l’aube avait commencé à se lever . Je me refugiai donc à l’hôtel pour la journée . La nuit qui suivait, je repris ma traque là où je l’avais laissé . J’avais découvert un nid de vampires dans les égouts de la ville, je les retrouvai facilement .
- Bonsoir, lançai dans la ruelle sombre car je savais qu’ils étaient là.
- Bonsoir, me lança une voix masculine.
Au fur et ma mesure que je m’enfonçai dans la ruelle, je vis cinq vampires se nourrirent de trois pauvres SDF .
- Désolez de vous déranger pendant votre repas messeux, je suis sur la piste d’un vampire femelle qui se prénomme Victoria . Leur expliquai-je calmement . Je me demandai si vous l’avait vu ou attendu parler d’elle .
- Oui, elle est venue ici, de se que nous savons, elle serait aller au Brésil, dans quel but ça nous ne le savons pas, m’expliqua leur chef
- Merci, murmurai-je, et bon appétit .
- Veux tu partager notre repas ?
- Non merci, mais au plaisir messeux
- Au plaisir, me répondis l’homme sur un ton amical
Je rentrai directement à l’hôtel . L’hôtel où je demeurai la journée était le lieu de mon agonie, tout était fait pour me remplir de mélancolie, car tous les détails me rappelai Bella . La musique dans le hall qui était « Clair de lune », jusqu’au parfum d’ambiance qui avait des dominances de freesia et de lavande . La solitude m’était salutaire car je n’aurais pas supporté que l’on me réconforte . Je fixai un point sur le mur, mais mon esprit était ailleurs . L’amour de ma vie, de mon existence était loin de moi, certainement heureuse et moi j’étais seul . Le chagrin était devenu mon meilleur ami .
De temps en temps, Alice prenait de mes nouvelles . Mon portable se mit a vibrer, quand je vis, je répondis .
- Allo Edward, comment vas-tu ? Chanta t - elle
- Oui, Alice . Je vais très bien, répondis-je même si cela était un mensonge
- Et Victoria, tu la trouvais ?
- Non, mais je sais où elle est . Elle se trouve au Brésil .
- nous allons chez Tanya dans quelques semaines, rejoins nous ? Gazouilla-t-elle
- Nous, je vais passer une semaine, chez Carlisle puis je part au Brésil .
- Dommage, moi qui voulais chasser avec toi, dit-elle sur un ton déçus
- Promis a mon retour, nous nous ferrons un festin ensemble .
Depuis mon arrivée au Texas, il y avait deux semaines, je n’avais pas beaucoup chasser, ma soif grandissait de jour en jour, il était temps de partir . Sur le chemin du retour, je m’arrêtai pour tuer quelques animaux, je repartais pour l’état de New York . Je retourna une semaine, voir Carlisle et Esmée, il fallait bien leur donner de mes nouvelles et une explication . Cette semaine fut difficile, car leur compagnie ne me faisais pas du bien . Esmée n’aimait pas me voir ainsi prostré, le regard vide sans énergie . Je ne lui jouai plus de piano depuis bien longtemps, la seule mélodie qui me venais en tête était sa berceuse, de plus la jouer aurais été une séance de torture . Je restai seul dans mon coin, la solitude m’enveloppait comme un drap de soie et j’aimais cela
Chapitre 5 : Une nouvelle étape
Je pris un billet d’avion direct pour la capitale Brasilia . À mon arrivée, je me suis mis en tête d’apaiser ma soif qui me brûlait la gorge depuis mon départ de chez Carlisle, il me fallut une heure de course pour atteindre la forêt . Ma chasse fut de courte durée, car une panthère noire passa à ma porté, puis je retournai en ville, par chance s’était la saison humide, le temps était gris la journée . Je puis traquer Victoria sans me soucier de rien . Victoria était à Rio pour un moment d’après ce que je savais .
Je préférai être seul dans la jungle luxuriante que chez Carlisle . Je ne réfugia dans une grotte pendant deux mois et demi, me nourrissant d’animaux passant à ma porté et fuyant les hommes et ceux de mon espèce . Je repris ma traque, comme à Dallas, je louai cette fois une maison dans les favélas de Rio, rien de très luxueux . Le toit était fait de tôle, les murs étaient grisâtres fait de parpaings de mauvaise qualité, mais je m’en moquai . Je passai mes nuits à la recherche de Victoria . Je recherchai dans l’agglomération de Rio, des groupes de vampires ou même un seul, je mis prés d’une semaine a repéré mes semblables, car la ville était si vaste.
Dans la semaine qui suivie, je me mis à la tâche de les interrogeaient .
- Excusez moi, messeux dames de vous dérangez pendant votre repas . Je recherche un vampire, c’est une femme, elle de fait appeler Victoria . Vous la connaissez ?
- Non, mais allez voir Pedro, il pourra vous renseignez . Dit-il sur un ton amical
- Merci, où je peu trouver ce Pedro ?
- Il teint un bar un peu particulier vous verrez . Il se trouve à côté de l’hôpital Santa Maria, par contre il vient de fermer dit-il sur un ton amical, en regardant sa montre . Il est ouvert de 18H00 à 6H00 du matin . Dite lui que vous venez de la part de Louis, reprit-il
- Merci, au plaisir messeux madame .
Donc si je comprenais bien, si Victoria était au Brésil, ce Pedro le savait .
Je remontai dans ma tanière pour me cachai des maigres apparitions du soleil . Allongeais sur le vieux matelas, je regardai dans le vide . Je ne pensai qu’à une seule chose Bella . J’avais espoir qu’après les quasiment sept mois de séparation d’avec Bella, je l’aurai oublié mais au contraire, mon désir de la voir était de plu en plus fort . Je luttai à chaque seconde pour ne pas le premier avion pour Seattle, récupérai ma voiture pour me rendre a Forks, j’attendrais que la nuit soit tomber pour voir sa fenêtre allumée, lui tapai aux carreaux et la suppliai de me reprendre . Dans cette histoire, j’avais perdu quelque chose d’important mon cœur . La journée passa doucement, je me mis des vêtements propres et je mis en quête du bar
- Pardon, madame je cherche l’hôpital Santa Maria ? Demandai-je avec un sourire
- Toujours tout droit jusqu’à l’hôtel Casa, puis tournez deux fois à droit
- Merci, madame bonne fin de journée
Il y avait pour environ un quart d’heure de marche pour les humains et pour moi aussi car je pris le temps de mis rendre, en faisant même quelques passes de football avec les enfants du quartier . J’arrivais juste après l’ouverture, le bar n’était pas ouvert à tous . Je sonnai à la porte, un homme aux yeux pourpres m’ouvrit une petite fenêtre .
- Vous venez de la part ? Me lança l’homme sur un ton suspicieux
- Je viens de la part de Pedro . Lui répondis-je sur un ton sur de moi
- Très bien, je vous ouvre
Il ouvrit la serrure, il faisait aussi le portier .
- Entrée, nous sommes un bar un peu spécial comme vous à certainement dit Pedro, je me présente quand même, je m’appelle Louis .
Il n’était pas plus grand que moi, habillait simplement . Tout en entrant dans son établissement, il me tendit la main pour me la serrer, je fis de même . Nous entrâmes dans un local mal éclairé, il y avait un simple comptoir, les verres étaient suspendus par les pieds . Des réfrigérateurs tournaient en permanence car la chaleur était étouffante, dans un doux ronronnement . Il y avait déjà des vampires, des habitués qui buvaient un liquide que je n’arrivai pas à identifier, Louis repassait derrière son comptoir, il prit un torchon et se mit à essuyer des verres qui sortaient du lave-vaisselle .
- Moi, c’est Edward . Oui on m’a prévenu mais qu’a-t-il de si spécial votre établissement ?
- Ici je ne sert ni de boisson, ni alcool, je me suis spécialisé dans un breuvage que nous seul consommons, le sang humain, me dit-il en rigolant . Je me fournis au don du sang, j’ai un fournisseur qui y travaille, il me dit quand il y a des groupe rares, continua-t-il . Vous voulez un verre ? J’ai un excellent O positif !!
- Non merci, je ne bois que du sang d’animaux . Je suis venu vous voir car on m’a dit que vous pourriez m’aider . Je recherche un vampire de sexe féminin qui répond au nom de Victoria . On m’a dit à Dallas, qu’elle était au Brésil, ma dernière piste ma conduit ici .
- Non, je suis désolé, je ne connais personne de ce nom . Je connais toutes les arrivées et les départs de vampires dans la ville et même dans le pays .
- Je suis venu pour rien alors, j’aurai découvert un bar comme le votre
- Nous tuons pas les humains, nous les trayons comme les vaches pour le lait, dit-il dans un éclat de rire .
- Merci pour vos renseignements, je vais peu être rendre chez moi .
- Alors, je vous dit au revoir et passer si vous êtes de passage dans le coin, bonne route pour votre retour .
- Au revoir et merci .
Je rentrai chez moi, le moral au plus bas . Le bruit de la pluie qui bâtait sur le toit durant des heures, m’énervai au plus au points .
Chapitre 6 : La fin d’une époque
Cela faisait pratiquement trois mois, que je traquai Victoria au Brésil et je n’avais rien trouvé, aucune piste sérieuse a l’horizon . Ce jour là, il pleuvait sur Rio de Janeiro où je me trouvai, mais il y avait foule dans les rues des favélas .L’eau ruisselait sur mes vêtements cela n’avait pas d’importance . Je savais maintenant que Victoria n’était pas là. Et cette comédie de cette traque n’avait plus d’importance . Ma seule raison d’être ou devrai-je dire ma raison de vivre : C’Était Bella .
Je pris la décision, je retournerai à Forks et je verrai bien sur place pour le reste . La revoir était à présent ma seule priorité .
A la première not de musique de mon portable, je m’en saisi et vi qui m’appelai .
- Allo Edward, c’est Rose .dit-elle d’une voix étrange
- Oui Rose, que se passe t-il ? Répondis-je avec surprise
- Moi, Emmet et Jasper, nous sommes toujours chez Tanya à Denalie, Esmée et Carlisle sont rentrés à New York, Alice est partie en voyage . Et toi où es tu ?
- Je suis au Brésil, à Rio plus précisément, Victoria n’y est pas, c’était une fausse piste .
- Il faut que je t’annonce une mauvaise nouvelle . Bella est morte .dit-elle sur un ton ironique
- Quoi ? Tu peut répéter . Murmurais-je
-Tu as bien attendu . Bella est morte .
A ce moment précis, la foule se mit à tourner . Un sentiment de vide venait de naitre en moi, je lui raccrochai au nez . Ma seule préoccupation était de téléphoner chez elle pour parler avec Charlie, même si celui-ci ne voudrait pas discuter avec moi . Composer le numéro ne fut pas facile, mais je le fis . Au bout de quelque sonnerie, un homme décrocha, se n’était pas Charlie au bout du fil .
- Maison SWAN ? Dit l’homme avec une voix sourde et intense
- Pourrai-je parler à Charlie SWAN s’il vous plait ?
- Il est absent, me lâcha l’homme au téléphone sur un ton presque menaçant .
- où est-il ? Demandai-je sur un ton agréable
- Il est à l’enterrement .
Ayant eu la confirmation de la mort de Bella car Charlie était à l’enterrement, je mis ma promesse de la rejoindre en route .
Chapitre 7 : Ma course contre le temps
Je pris un billet d’avion pour l’Italie et me débarrassa de mon portable . J’emportai aucune affaires personnelles . Finalement, je n’avais besoin que de mon passeport pour l’Italie et quelque dollars. Je connaissai la durée du vol entre Rio et Rome environ dix heures et quelques heures de plus pour me rendre à Volterra .
Depuis que Rosalie m’a annoncé le décès de Bella, je me remémorai le moment où pour la première fois que son odeur enflamma ma gorge, le jour où je l’ai sauvé de l’accident de voiture, le tête à tête à Port Angeles, ce jour là que je lui est dit pour mon don, notre premier baiser, le bal de fin d’année . En signe d’impatience, mes doigts jouaient sa berceuse sur mes genoux .
Plus rien n’avait d’importance, Bella était morte et enterrée, et moi j’allai la rejoindre dans quelques heures ou une journée toute au plus .
Durant le vol, j’étais assis à côté d’une veille dame, qui regardait sans intérêt « Roméo et Juliette ».
- J’arrive Bella, je vais te rejoindre mon amour . Murmurais-je à moi-même
- Mon jeune ami, dit-elle en me touchant l’avant bras, vous rejoignais votre fiancée en Italie ?
Le fait que le vielle dame m’adresse la parole me fit chaud au cœur . Mais absorbé par la vision de Bella morte, froide et immobile me fis oublier sa question.
- Excusez moi madame, je n’est pas entendu la question . Dis-je le regard perdu vers l’horizon
- Je vous demandai si vous allez en Italie rejoindre votre fiancée ? Me redemanda la femme avec une voix douce que l’on aurai dit Esmée
- Oui, si je puis dire
A ce moment précis, le commandant de bord annonça notre descente sur Rome . Le soleil était à sont zénith, mais l’orage menaçait car de gros nuages noirs emplissaient le ciel bleu . Soudain, le ciel prit la couleur de la nuit, un éclair puis deux, puis le tonnerre gronda . Je profitai pour voler une voiture, tant qu’elle soit faite pour la vitesse, peu importe la marque . J’airai sur le parking, quand je vis un homme sortir d’une Maserati Granturismo S, je le bousculai lui voler les clefs sans trop de difficultés. Elle était flambante neuve . L’ouvrir ne me pris quelques secondes et la démarrais ne me pris guère plus.
Je n’avais qu’une hâte partir pour rejoindre Volterra . Les rugissements du moteur hurlèrent quand j’enfonçai la pédale de l’accélérateur et je partis sur le champs . L’embouteillage de l’aéroport ne posèrent aucun problème, je slalomai entre les voitures . Au bout de quelques kilomètres, la circulation se fluidifia et je pus enfin exploiter les capacités de celle-ci . Je quittai rapidement l’autoroute pour gouter l’ivresse de la vitesse sur les petites routes de Toscane . A une cinquantaine de kilomètres de ma destination, j’accélérai à fond, j’attendis que le compte tour du moteur soit dans le rouge . Et là sur le bord de la route une rangé d’arbre plus que centenaire . Je voulais me faire plaisir une dernière, ou avais-je le secret espoir d’y rester . Je donnai un coup de volant, sans même donner un coup de frein, la voiture m’obéis, elle fonçât directement dans l’un des arbres . L’impact fut si violent que l’arbre traversa le capot sur toute sa longueur et s’arrêta au niveau du siège passager . Le pare-brise était en miettes, le moteur fumait à quelque dizaines de mètres de la carcasse . Le choc de ma tête sur le volant l’a non seulement détruit celui-ci mais aussi le tableau de bord . Je sorti de la voiture ou ce qui l’en rester, je me mis à courir . Durant cette course, je pensai comment présenter ma requête, comment être sûr que les Volturis ne me la refusent pas .
Chapitre 8 : La requête
Le crépuscule tombait sur Volterra, je savais où me rendre pour présenter ma requête . Je franchissais d’un pas décidé le pont levis a l’entrée de la ville . Je me rendis directement à leur adresse, ce qui était pour les simples mortels une adresse professionnelle cachait en faite la demeure des volturis . On ne les rencontraient pas comme ça les membres de ce clan . Dans un premier temps, je rencontrais Démitri, un membre de la garde rapproché d’Aro, Marcus et Caius .
- Bonsoir, je me présente je suis Edward Cullen . Je souhaite rencontrer tes maitres .
- Mes maitres ne peuvent te recevoir car nous ne te connaissons pas, de plus il faut demander audience et il est tard .
- Je suis le fils adoptif de Carlisle Cullen, un grand ami d’Aro
- Très bien, répondit-il sur un ton agacé . Je vais voire si ils peuvent vous recevoir .
L’attente fut de courte durée .
- C’est bon tu peu venir, ils t’attendent . C’est parce que Aro connait Carlisle, qu’ils d’accordent audience si tard . Suit moi, c’est juste au fond du couloir .
Lorsque j’attenais le fond du couloir que deux gigantesques portes de bois s’ouvreraient devant moi et se refermeraient après mon passage . J’avançai les poings serer . Trois trônes épousèrent le forme ronde de la salle, dessus étaient assis Aro, Marcus et Caius . Le premier Aro se leva et vient vers moi .
- Alors mon ami Carlisle a créé son propre clan lui aussi .
- Oui, répondis-je sur un ton amical, nous sommes sept à présent . Je suis le premier qu’il a créé .
- Bien, bien, touche moi la main . ( il me tendit la main ) J’ai besoin de savoir pourquoi tu as fait un si long chemin .
Je lui effleurai la sienne . Il avait le même don que moi, mais bien plus puissant que le mien . Il pouvait entendre tous ce qu’une personne avait pensé durant toute sa vie . Aro aura pu entendre toutes mes pensés au sujet de Bella, mais aussi humait son odeur dans ma mémoire, ainsi que tous mes souvenir au sujet à son amis Carlisle .
- Je vois très bien, tu possèdes un don similaire au mien (je répondis d’un hochement de tête ) . Je souhaite que tu formules ta requête clairement et à voix haute que mes frères l’attendent
- Messieurs, ma requête est simple, je souhaite que vous m’aidiez à mourir . La femme que j’aime est morte et je voudrai la rejoindre au plus vite .
- C’est Bella, je l’ai vu dans ta mémoire, une simple mortelle je tiens à précisé pour mes frères, dit-il sur un ton moqueur . Une fille qui attire le danger comme un aimant . Et toi, tu as passé ton temps à la sauvée . De plus, c’est toi qui la quitté pour la protège de toi .
En l’entendant parler d’elle en ces termes me fis plus malheureux que je l’étais, et la rage montait en moi .
- Oui exactement, murmurais-je entre mes dents.
- Très bien, tu peux te retirer, nous te donnerons une réponse dans une heure .
Je sortis de la pièce pour les laisser délibéraient . L’attente fut longue . Dans le couloir, je tournai comme un lion en cage. Quelque soit leur décision, j’étais décidé à mourir . J’étais près à les obliger a me tué . Je finis par m’assoir sur le sol en marbre, à l’a fut du moindre bruit . Quand soudain, j’entendis les deux grosses portes en bois s’ouvrir . Je me mis debout d’un bond gracieux, Démitri était déjà à mes cotés .
- Vient, ils t’attendent, suit-moi sur le champs, dit-il sur un ton autoritaire.
- Bien
Là au bout du couloir était ma destinée, il y avait deux options, soit ils m’exécuteraient sur le champs soit je les obligeraient a me tuer . Ils étaient là, tous les trois assis sur leur trônes et ils étaient face à moi.
- Bien, nous avons fait notre choix
- Et bien, j’attend votre verdict . M’impatientais-je
- Nous avons décidé de ne pas te donner la mort, mais par contre nous préférons te proposer une place parmi nous .
- Non, je refuse, je veux mourir plutôt que de vivre sans elle . Je ne veux pas non plus une place parmi vous, hurlais-je
- Ton don nous intéresse . Te détruire serait pour nous un gâchis, c’est la particularité de celui-ci qui nous ait précieux .
- Comment ça ? Toujours sur le même ton
- Toi tu n’as pas besoin de toucher la personne pour lire ses pensées . Dit Aro toujours assis sur son trône de bois .
- Très bien, je vois mais vous n’avez pas le droit de me la refuser .
- Ici Edward, dit Aro sur un ton ferme tout en se levant de son siège, moi et mes frères, nous avons droit de vie et de mort sur vous les immortels . Tu n’as enfreint aucunes de nos lois .
- Très bien, j’ai compris le message . Lui répondis-je sur un ton agressif tout en sortant de la salle .
Je poussai les deux grandes portes pour sortir, quand je fus sorti, elles se fermèrent dans un fracas énorme, qui firent vibrer le marbre du sol . La nuit était déjà bien installée, quand je sorti de la ville .
Chapitre 9 : La fin de ma souffrance
Il fallait que je trouve une idée pour obtenir une réaction, j’échafaudai plusieurs plans, mais un reteins mon attention, chasser en ville, prendre un maximum de plaisir avant de mourir . C’est parti pour chasser dans ville où cette activité était prohibée . Mais soudain l’enseignement de Carlisle, Bella et le souvenir des mes meurtres passés, me sont revenus en mémoire . Je me ravisais et en me creusant un peu la tête, je trouva une autre idée .
Je me souvenu que demain, on serait le quinze, le jour où Volterra fêtait son saint patron - Saint Marcus - . Je savais que la ville serait pleine de monde . Je me mettrai en plein soleil, mais où me posterai-je pout toucher le plus de monde . Donc se sera à midi sous la tour de l’horloge, de cette position je toucherai un nombre important de personnes . Leurs gâchaient et révéler notre secret ce jour là, les obligeraient à me détruire sans aucun remord . La nuit passa et le jour commençait à se lever, les cars de touristes arrivèrent au compte goutte . Je rendrai dans le ville, je traversai la Grand Place dans l’ombre des bâtiments . Je savais qu’ils me surveillaient car ils pensait surement que je les forceraient à me tuer . Je m’assis sur les marches de l’horloge pour patienter jusqu’à midi .
Il était onze heures trente, quand je retirai mon t-shirt le laissant tomber sur le sol . J’étais debout immobile, les yeux fermés et mes lèvres esquissaient un sourire, mais conscient de blesser certaines personnes Carlisle, Esmée et Alice, mais aussi j’allais retrouver Bella . La foule était compacte sur la Grand Place, le soleil commençait a se rapprocher de moi . Je pouvai ressentir les rayons du soleil qui arrivaient sur ma peau, avaient déjà ricoché sur les pavés . Le premier coup de midi sonna, plus que quelques minutes et la mort me frappera de sa douceur, que j’aille en enfer ou au paradis peu importe, je serais heureux .
Plus que quelques secondes, mais au moment où j’allai être en pleine lumière, une chose tiède et molle me percuta, elle perdit l’équilibre et surement par reflexe, je la rattrapai avec mon bras avant qu’elle percute le sol ……
Orthographe : 1 et 0
Respect des consignes : 1 et 1
Respect de l'oeuvre et du theme : 5 et 5
Originalité : 6 et 6
Emotion : 2 et 2
Moyenne : 15 et 14
Total : 14.5
Commentaire Keedie : Les - : Beaucoup de fautes d’orthographe et de grammaire. Et même parfois de conjugaison.
Les + : Le prologue comme chacun des livres de la Saga. Tu as bien détaillé ton histoire, et donc la vie d’Edward. Il y a beaucoup de détails. J’ai beaucoup aimé.
Commentaire Cinderella : Beaucoup de fautes d'othographe, de conjugaison surtout, des mots manquants. Je sais que plus l'histoire est longue, plus se relire est difficile! Tu t'es un peu embrouillé dans les nom de tes personnages aussi! Sinon c'était original, comment tu as raconté ton histoire, tout ce qu'edward à fait durant son absence... Tu as parfaitement répondu au sujet qui était proposé. Comme je l'ai déja dit, le coté émmotion est strictement personnel, et je ne me suis pas sentie particulièrement émue par ton histoire bien qu'elle était pas mal captivante.
samedi 13 septembre 2008
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