dimanche 14 septembre 2008

Ainsi soit-il!

Par Julie B

Ce que j’avais dit à Bella dans les bois, je n’y avais pas tellement pensée. Et pourtant, il avait bien fallut que je lui dise ces mots. D’une pour qu’elle croit que je ne l’aime plus, de deux, pour qu’elle s’éloigne de moi, le monstre que j‘étais.

Avec moi, bien entendu, elle était en danger de mort. Surtout avec ce qui c’était passé à son anniversaire avec Jasper. Elle n’avait pas envie de célébrer cet événement, et Alice avait assuré que cela se passerait plutôt bien. Par ailleurs, Bella s’était malencontreusement couper avec le papier cadeau du cadeau d’Alice et Jasper avait faillit... Rien que d’y repenser, j’avais envie de fuire encore plus loin que d’être ici. D’être de retour en Alaska avec ma famille. Je n’en voulais pas à Japser, ni à ma famille, mais l’idée d’avoir fallit perdre celle que j’aime, me répugner. J’avais effacé toute trace de moi aux yeux de Bella. Les photos prises, ainsi ce que je lui avais offert pendant le moment où j’étais avec elle. En la quittant si précipitament dans les bois, je pensais qu’elle m’oublirait assez vite et passerait alors à autre chose. Elle avait le don de se mettre dans des situations pas possible, comment allait-elle s’en sortir sans moi à ses côtés? J’avais pratiquement passer ma vie... Non, mon existence à l’observer, à chaque faux pas qu’elle faisait, comme un père qui surveille sa petite fille. Pourtant j’en étais tombé amoureux et j’avais passé de bon moment avec elle.

“Tu pense encore à elle, n’est-ce pas?”

Je ne bougeait pas d’un centimètre, restant droit comme I, à fixer droit devant moi. Alice venait d’apparaitre à mes côté. Je l’avais entendu arriver bien avant d’entendre ses pensées. Nous étions ici depuis seulement quelques heures, et personnes n’étaient venu me déranger encore depuis notre départ de Forks.

Seule Alice s’était décidé à le faire.

“Tu ne vas pas adresser un mot du tout...”

- Laisse-moi encore une heure ou deux pour réaliser que j...”

- J’ai vu une partie de ce que tu as décider de faire!

Elle ne l’avait pas pensée, mais me l’avait lancé en pleine tête et s’était tourné vers moi.- Tu vas vraiment t’éloigner de ta famille?

Je fermais les yeux et soupirais. Quand je les rouvris, Alice m’observait toujours, les sourcils froncés.- je pense que oui, m’éloigner un peu me ferait du bien!

“Pourquoi? Tu vas laisser Carlisle et Esmée seulent encore une fois?”

- Tu es là, pour les protégers!

- Je ne lis pas dans la tête des gens, je devine seulement ce qu’ils vont faire, et encore ca change tout le temps!Je soupirais sans répondre, et me lêve en quelques secondes.

- Je vais voir Carlisle, et lui dire! Je pense qu’il comprendra!Je filais comme le vent, laissant ma jeune soeur derrière moi. Je me devais de partir. De toute manière je passerai les voir de temps à autres, comme un fils partant à l’université et revenant voir sa famille pour passer un coucou.

Alice m’avait passer son nouveau numéro de téléphone, elle comptait s’éloigner aussi de la “famille”, et pensait rendre une petite visite à Tanya au Denali, en compagnit de Jasper.

J’avais serré la main de ce dernier, lui disant que je ne lui en voulait pas du tout, de toute manière, cela devait arriver un jour ou l’autre, et c’est arriver le jour de l’anniversaire de Bella.

Je fis comme tout être civiliser, je pris donc l’avion pour l’Europe. Rien de telle que de quitter les Etats-unis pour un autre continant. J’étais déjà aller en France longtemps au paravant, et me voila repartie pour là bas. Juste en esquale, après je verrais pour une autre horizon. Histoire de me ôter Bella de la tête. Mais était-ce possible de m’enlever les yeux couleurs chocolat de Isabella Swan? Le vol m’avait parut interminable. J’aurais dû prendre mon pouvoir de vampire, mais je ne voulais plus en être un. Mais je ne pouvais oublié qui j’étais. Et comme une dose de drogue oublié d’être prise, le sang de chaque passagé m’avait chatouillé les narines. J’avais pourtant résisté à l’envie d’en mordre au moins un ou deux dans une cabine. J’avais retenu mon souffle, et repensant à Bella dans la salle de classe et j’avais bloqué toute les pensées en fainant de faire semblant de dormir pendant tout le vol, histoire d’oublié le fait que j’avais pas prit assez de sang pour le voyage comme un débutant.

Je ôtais mes lunettes de soleil, la ville où j’étais été brumeuse aujourd’hui. Je décidai de prendre une chambre d’hôte dans une auberge et de me reprendre une voiture, ma volvo étant rester en Alaska.

A bord de ma nouvelle voiture, une porshe 997 turbo grise, je roulais non stop vers une horizon invissible. Bella me hantait et j’avais besoin de la sortir de ma tête. Cinq mois. Cinq mois que je me trouvais en Europe loin de ma famille, et Alice m’avait dit pendant tout ce temps, alors que je réussissait à l’oublier, que Bella faisait tout son possible pour faire des tentatives de Suicides. Je me souviens de ce que j’avais dit alors à Alice: “Bella a juré, alors cesse de surveiller son futur, nous avons commis assez de dégâts.”Alors Alice m’avait juré qu’elle ne la surveillait pas du tout, je ne l’avais pas cru d’un mot. Pourtant le fait d’avoir su que Bella faisait tout pour mourir me répugné, essayait-elle de devenir comme moi? Je poussais au maximum ma porshe, dépassant à présent les 200 kilométre/heure, rien qu‘à cette idée. Alice l’avait vue “plonger” d’une falaise hier, d’après Rose qui me l’avait rapporter ce matin alors que j‘étais à Rio. J’avais alors appelé chez elle, juste pour être sûr. Et ce Jacob Black avait balancé que Charlie Swan était à l’enterrement. Je savais. Je savais bien que si je laissais Bella seule elle fera un acte stupide. Quand j’étais loin d’elle, elle était victime de plusieur sorte d’accident, qu’elle seule peut avoir. J’avais alors jetté mon portable dans une poubelle et parti pour la France.

J’avais alors eu l’idée de me rendre en Italie, les Volturi m’était venu soudain en tête, pour mourir, comme Roméo et Juliette. Pourtant j’avais toujours détester cette histoire. Bella était morte, je le savais.

Je voulais disparaitre à mon tour, à quoi bon rester sur terre si elle n’est plus?Il me falait me rendre à Volterra et de provoquer les Volturi, et alors là, ils me détruiront. Peu importe comment ils s’y prendront, peu importe le temps que cela prendra, et peu importe la tournure de l’acte que j’allais faire pour les provoquer, le moment que celà soit rapide, que je puisse rejoindre Bella.

J’accélèrais alors de plus belle, avec un plan en tête. Je descendis de voiture et cherchait la cachette des Volturie. Je savais bien sûr où la trouver. Carlisle m’en avait parlé si souvent dans ses récit. Leur existence était secrète, et ils se devaient de se cacher dans les profondeur de Volterra. Une fête se préparait pour l’événement de demain, il y aurait du monde dans les rue, et je soupsonnais que le soleil allait briller très haut.

Face à Aro, je restais imperturbable. Il réfléchissait à ma question, je l’entendais la remettre en point dans sa tête et d’interroger Caïus et les autres d’un simple regard.

- Comment va ce cher Carlisle? entendis-je alors.Je relevais la tête en grimaçant. Puis serrant les points je la rabaissai sans daigner répondre.

- Nous refusons cette acte Edward! Tu n’as rien fait de stupide dans ta vie, et Carlisle est un de nos amis...

- Très bien, alors autant vivre avec... grinçais-je en ressortant.

Il faisait nuit, je remontais à bord de ma porshe et réfléchit à un plan, je roulai au hasard des rues de Volterra. Songeant alors à comment disparaitre et comment faire pour qu’ils me démolisses.En somme, pour les provoquer, je devais chasser. Pas de simple animaux comme à Forks. Des êtres vivants. Des humains, devant tout le monde et je ne me cacherais pas de le faire. Mais cela me répugniais, je ne voulais pas décevoir Carlisle, avec ça. Pas maintenant, enfin, pas à ma toute fin. Je me devais de trouvais autre chose, n’importe quoi, même si c’était stupide, je le ferait. Me balader torse nu peut être que les gens me verrait, ou bien les hypnotisité et les transformer en nouveau né mais la réponse m’apparut comme un coup de fouet. Le clocher sur la place.

A midi pile, le clocher serait innonder de soleil dans la journée, et des millier de gens me verront apparaître, et briller de mille éclat, sachant que je ne suis pas des leurs, certains serait surprit, d‘autre répugné. Peut-être même que certains hurleré d‘effroit. C’était donc mon plan, du dernier recourt.Il y avait du monde dans les rues. Une grande fête en l’honneur des sauveurs, était célèbré. Je marchais à un rythme assez rapide et y parvient enfin. Ils aiment la paix qu’ils ont créé, très bien, ils vont être servit quand je sortirais de l’ombre en plein soleil, montrant aux yeux des mortelles ma vraie nature. Je veux revoir Bella, je vaus encore la voir sourire, tomber, ce prendre les pieds dans ses propres pieds, la voir dormir et parler dans son sommeil en murmurant mon prénom d’une voix douce, qui c’est fait naître en moi des choses que jamais je n’avais ressentit auparavant. Je veux vraiment ressentir ces choses, sa peau tiède et ses yeux chocolat.J’attendis alors dans l’ombre. Des hurlements joyeux me parvenait. J‘avais pas la force de sourire avec eux. Je surveillais le soleil qui montait à l’horizon. Lentement. Si lentement. J’entendais vaguement au loin la voix de Bella. C’était une sensation étrange. Je bloquais toute pensées, émotions et rien que d’entendre la voix de Bella, j’eus un sourire aux lèvres et levait déjà mon pieds pour franchir la ligne qui me séparait du soleil et m‘exposerait au monde des mortel. Dans même pas une seconde, alors que je déboutonnais ma chemise, il sera trop tard pour refaire machine arrière. Que m’arriverait-il par la suite? Reverrai-je Bella après tout cela?Soudainement, quelqu’un me rentra de plein fouet. Je restais de marbre et rouvrit mes paupières lentement. La cloche annonçant midi, résonna autour de nous. Je restais alors muet de stupeur.

- Etonnant, finis-je pars dire,Carlisle avait raison.

- Edward! Haleta-t-elle. Il faut que tu regagnes la pénombre. Bouge!

Je restais pourtant, sans bouger de la où je me trouvais. Qu’est-ce qui se tramer? C’était fabuleux, Bella était près de moi. Comme le plus beau des songes. Que demandait de plus? Pourquoi devrais-je bouger?

- Je n’en reviens pas que ça ait été aussi vite, chuchotai-je en appuyant mes lèvres contre ses cheveux. Je n’ai rien senti. Ils sont décidément très fort.

Je sortis alors un versant de Roméo et Juliette. Alors que le carillon sonnait une ultime fois.J’étais surpris encore, elle avait tout, comme dans son vivant. Son haleine et sa beauté, ses yeux chocolat à laquelle j’avais songé.

- Tu as exactement la même odeur que d’habitude, continuai-je alors, c’est donc cela l’enfer? Tant pis! Je l’accepte.

- Je ne suis pas morte! S’écrit-elle alors. Et toi non plus! S’il te plait, Edward, fichons le camps d’ici! Ils ne doivent pas être loin.

Je restais de marbre à la fixer. Elle était encore en vie, ca voulait dire qu’on était en danger tout les deux. Elle se dégagea de mon étreinte et fronçait les sourcils.

- Plaît-il? Demandai-je poliment.

- Nous sommes vivants. Pour l’instant. Mais il faut que nous décampions avant que les Volturi...

J’avais enfin compris. Nous étions en vie, et il me semble que les Volturis allait arriver d’un moment à l’autre et je présentis qu‘ils n‘allais pas être d‘accord avec mes choix. Je finis par l’attirer brutalement dans la ruelle, la colla au mur et me retourna. Je finis par la protégé. Je ne m’étais pas trompé, quelqu’un se tenait derrière nous, dans la pénombre.

- Salutation, messieurs, lancais-je en feignant le calme. il me semble que je n’aurais finalement pas besoin de vos services aujourd’hui. Cependant, je vous saurais infiniment gré de remercier vos maîtres pour moi.

- pouvons-nous conserver en des lieux plus appropriés? Chuchota une voix.

Je savais qui cela pouvait être bien sûr. Félix m’apparut alors.

- Cela ne sera pas nécessaire, répondis-je cette fois séchement. Je connais vos instructions, Félix, et je n’ai enfreint aucune loi.

- Félix voulait seulement souligner la proximité du soleil, intervient une autre voix que je reconnus.Chacun d’eux étaient dissimulé sous un manteau, qui les protégé du soleil, qui descendait jusqu’au sol.

- Cherchons un abri plus adapté.

- Je vous suis, cédai-je alors en entendant les pensées de chacun.

Bien sur qu’ils voulaient emmené Bella aussi.

- Bella, repris-je alors en me tournant vers elle, retourne sur la place et profite des festivités.

- Non, que la fille vienne, exigea, comme je le savais, Félix. Je lui lancai un regard noir et écouté ce qu’il avait à dire.

- Pas question!

Toutes courtoisies en moi avait disparut, laissant place à une autre personne. Ce n’était que le monstre en moi qui réagissait ainsi et mon amour, insencé, pour Bella. J’entendais les pensées de Félix et cela me répugniais.

Bella prononca alors un “non” que j‘entendis même s‘il fut prononcé silencieusement. “Chut”, lui retournais-je pareillement. J’avais envie de les détruire, s’ils touchait à un cheveux de Bella devant moi.

- Pas ici, Félix! Averti Démétri. Aro, ajouta-t-il enfin, désire juste s’entretenir de nouveau avec toi, puisque tu sembles avoir finalment décidé de ne pas nous forcer la main.

- très bien, acquisçai-je, mais la fille reste libre.

- J’ai bien peur que ce soit impossible, il y a des règles à suivre.

- Dans ce cas, j’ai bien peur, moi, de ne pouvoir accepter l’invitation d’Aro, Démétri.

- C’est aussi bien!

Bien entendu je savais, qu’est-ce que c’était ces régles, éliminé Bella. Elle en savait trop, et elle m’aimait, moi un vampire, un monstre. Je ne devais pas pensée au fait qu’ils allaient la tuer, car jamais je me ferais à l’idée de la transformer. Il fallait trouver un prétexte pour que cela n’arrive pas, qu’ils ne l’élimine pas.La discution fut assez élancée. Et on finit par les suivrent, Jane nous avait rejoint avec Alice.

Et de nouveau devant les Volturi, on attendait le verdict final. J’avais peur pour Bella, que si le Verdict était ma mort, ils ne s’occupent d’elle d’une façon répugnante. Je m’en voulais, d’une d’avoir cru Rose et de deux d’avoir cru cet imbécile de Jacob Black m’annonçer que Charlie Swan était à l’enterrement de Bella. J’étais stupide. Et puis Alice avait mêlé Bella à tout cela aussi, pourquoi l’avait-elle ramené ici? Aro proposa comme toujours que je me joigne à eux, tout d’abord je ne suis pas d’accord. Alice eu droit à la même question. Ils fuernt tous étonné pour Bella, personne n’attiverà lire en elle, je pensais que j’étais unique, et même Jane n’arrivait pas à lancé son pouvoir pour la contrôler.

Je fus torturé par Jane sous les yeux de Bella, je revoyais ma séparations avec qu’elle, et ma vie sans elle. Alice leur montra finalement que Bella serait transformé quand nous rentreronts à Forks, bien sûr je savais que cela n’arriverait jamais. Je ne transformerais en aucun cas, Bella en une sorte d’animal ou un monstre.

Pourtant, les Volturis furent convaincu de cette surpercherie. Comme si, j’allais vraiment transformer ma Bella. On fut autoriser à partir, à une condition d’attendre dans la pénombre que la nuit tombe un peu. Je ne pouvais lâcher Bella, trop heureux de la retrouver et trop heureux de la savoir là près de moi. Plus jamais je ne la laisserai, plus jamais.

Orthographe : 1.5 et 0
Respect des consignes : 1 et 1
Respect de l'oeuvre et du theme : 5 et 5
Originalité : 3 et 4
Emotion : 2 et 1
Moyenne : 12.5 et 11
Total : 11.75
Commentaire Keedie : Les - : Beaucoup de fautes d’orthographes qui auraient pu être évité avec le correcteur Word.
Les + : Tu respectes l’œuvre, et le passage. J’aime bien comment tu développes les pensées d’Edward. Et tu respectes vraiment bien le sujet.
Commentaire Cinderella : Beaucoup de fautes d'orthographe et de grammaire, la lecture est saccadée, très difficile. L'histoire et le sujet sont respectés mais ne font pas preuve d'une grande originalité, dommage, quelques contre sens (rio n'est pas en europe ;-)), Je n'ai pas trouvé ton histoire tres émouvante, mais ce critère est strictement personnel.

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